
	La Citoyenneté & l' Esclavage
			            Du Contrat d'Esclavage Moderne entre les Nations à la Désobéissance Civile.
Le Profit régit notre Société. Ainsi, nous sommes passé du colonialisme, imperialisme, esclavagisme, capitalisme... mais bon c'est juste la domination à des échelles variées.
Notions
La drapétomanie était une prétendue maladie mentale, décrite et inventée par le médecin américain Samuel Cartwright en 1851, pour expliquer l'évasion des esclaves vers le Nord des États-Unis. Selon Cartwright, la fuite des esclaves s'expliquait par des mouvements involontaires. - Ils sont tellement convaincus que les autres sont des objets qu'ils prétendent la folie de s'échapper de leur condition d'esclave. L'Hystérie avec les femmes, la drapétomanie pour les noirs. On se rappelle (ou on découvre :) ), c'est de la Projection. Mécanisme de base du déni qui perverti (processus DARVO / Pervers - Deny, Attack & Reverse Victim & Offender) : on projette sur l'autre qui on est soi-même. Traduit ici,, ça dit que les esclavagistes (eux-memes) sont fous à ne pas sortir de leur emprise d'esclavagiste (leur aliénation mentale).
L'esclavage est un système socio-économique reposant sur l'exploitation d'êtres humains, qui ne fonctionne que sous la contrainte et par la violence.
L'esclave est une personne qui n'est pas de condition libre : il appartient à un propriétaire exerçant sur lui un pouvoir absolu. Considéré comme un bien mobilier, l'esclave peut être vendu et séparé de sa famille ; il est contraint d'effectuer tous les travaux que son propriétaire exige de lui.
Selon la Convention de Genève du 25 septembre 1926, dans son article premier : « L'esclavage est l'état ou condition d'un individu sur lequel s'exercent les attributs du droit de propriété ou certains d'entre eux. »
Une théocratie est, au sens premier, un gouvernement dans lequel une ou plusieurs divinités sont reconnues comme autorités suprêmes, ou, au sens dérivé, un régime politiquefondé sur des principes religieux ou gouverné par des religieux. Le terme vient du grecθεοκρατία (theokratía), formé à partir des mots grecs « Θεός (Theós) », « Dieu », et « κράτος(krátos) », « pouvoir ».
L'exploitation sociale désigne les violences qui s'exercent dans les rapports sociaux, particulièrement au travail.
Le patriarcat est un concept utilisé en anthropologie et en sociologie pour désigner « une forme d'organisation sociale et juridique fondée sur la détention de l'autoritépar les hommes, à l'exclusion explicite des femmes1. » Le patriarche y occupe une position mythique de « père fondateur » supposée lui octroyer une autorité et des droits sur les personnes dépendant de lui (femme[s], enfants, famille élargie, subordonnés).
Le capitalisme est un système économique caractérisé par la propriété privée des moyens de production, la séparation du capital et du travail, et la régulation marchande. Par extension, le terme peut également désigner l'organisation sociale induite par ce système ou un système fondé sur l'accumulation du capital productiffondé sur la recherche du profit. Les acteurs du système capitaliste sont les individus, des entreprises, des associations, des fondations voire l'État quand il assume un rôle économique.
L'addiction, dépendance, ou assuétude, est l'envie répétée et irrépressible de faire ou de consommer quelque chose en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire. C'est un TOC.
Le Trouble Obsessionnel Compulsif est l'accumulation de la même chose pour se rassurer de sa carence affective - son manque d'empathie.
Tout cela pour bien montré que la société dans laquelle on vit est bien une société de manque, de carencé, d'un carencé/addicte avec une relation de drogue à la vie qui utilise les autres comme ses shoots pour son TOC principal : l'Argent & le Pouvoir.
Le Passeport
L'image est forte, dérangeante, mais terriblement efficace : notre passeport, ce sésame vers le monde, ne serait-il qu'une étiquette similaire à celles que l'on appose aux animaux ? La couleur, censée représenter fièrement la nation, devient alors un simple marqueur de "propriété" permettant de cataloguer et contrôler les "produits" humains d'un État.
Bien sûr, le passeport facilite les voyages, atteste d'une appartenance. Mais cette liberté de mouvement reste conditionnée par la volonté de l'État, pouvant à tout moment restreindre nos déplacements, nous refuser l'entrée ou la sortie du territoire. Notre "valeur" est alors déterminée par des critères arbitraires, fluctuant au gré des accords internationaux et des enjeux géopolitiques.
Un Contrat Signé à Notre Insu
Le plus troublant dans ce parallèle avec l'esclavage, c'est l'absence de consentement initial. Dès la naissance, par le simple fait d'être né sur un territoire, nous héritons d'une nationalité, d'un ensemble de droits et de devoirs, sans avoir jamais signé le moindre contrat.
Certains diront que la participation à la vie citoyenne, le vote par exemple, vaut acceptation tacite. Mais qu'en est-il de ceux qui ne se reconnaissent pas dans ce système, qui n'ont jamais eu l'opportunité de choisir leur "camp" ?
La Culture des VIOLences Commence avant même ta Naissance. C'est pour ça qu'on dit que c'est un Trauma Transgénérationel, par des parents eux-même aliénés, piégés.
L'Illusion du Choix & le Poids de l'Héritage
Certes, la liberté de mouvement, bien que limitée, permet de changer de nationalité, de "choisir son maître". Mais ce choix, souvent semé d'embûches administratives et financières, reste réservé à une élite privilégiée. La majorité d'entre nous se retrouve liée à un territoire, une histoire, un système qu'elle n'a pas choisis, transmettant malgré elle ce "contrat implicite" aux générations futures.
Le Carnet AnthropoMétrique 
C'est l'autre nom du Passeport.
Ils ont changé le Nom pour que ça fasse moins Bétail.
Mais toujours pour faire plus de Blé.
Mais Juste le Nom, pas sa Signification.
C'est de la Prétention,
de la Poudre aux yeux de Libération.
Perlimpinpin d'Illusions.
Par Vantardise ils nous traitent comme Marchandise.
C'est ce qu'on nomme la Fraude de Nom Légal :
L'Oubli Tsigane.
Agir Face au Déterminisme National
Face à ce constat, la résignation n'est pas une option. Il est de notre devoir de questionner ce "contrat social" imposé, de débattre des limites de la citoyenneté et du pouvoir de l'État sur l'individu.
Plusieurs pistes sont à explorer :
- Repenser la Citoyenneté : Instaurer un véritable consentement éclairé à l'âge adulte, permettant de choisir (ou non) son appartenance nationale.
- Renforcer les Droits Individuels : Garantir la liberté de mouvement, lutter contre toute forme de discrimination liée à la nationalité et protéger les droits fondamentaux de chaque individu, qu'il soit citoyen ou non.
- Promouvoir une Citoyenneté Mondiale : Encourager l'empathie et la solidarité entre les peuples, transcendant les frontières et les clivages nationaux.
L'absence de consentement explicite à la naissance soulève des questions légitimes sur la liberté individuelle et la légitimité de l'autorité étatique.
Alors que faire face à cette réalité ?
- La voix : Même si le contrat n'est pas initialement consenti, nous avons le pouvoir de nous faire entendre. Voter, militer, s'engager dans la vie citoyenne sont autant de moyens de faire évoluer le système "de l'intérieur".
- L'exit : La liberté de circulation, bien que limitée, permet de choisir de vivre dans un autre pays et d'en acquérir la nationalité. C'est une option radicale, mais qui témoigne de la possibilité de choisir son appartenance.
- La réflexion : Interroger ce "contrat implicite" est en soi important. Cela nous pousse à réfléchir à notre rôle dans la société, à nos droits et nos devoirs, et à la manière dont nous voulons contribuer (ou non) au contrat social.
Ici ça en parle en musique :
"Et de quel droit, je me dois de suivre vos lois ? puisque la portée de mes pensées ne va pas jusque là....é
Agir dans la démocratie :
reprendre notre pouvoir d'agir,
construire ensemble une société de l'empathie
Selon les principes de démocratie ouverte pour une société du faire ensemble, il ne s'agit pas juste de donner des outils aux citoyens pour qu'ils et elles donnent leur avis, encore faut-il changer le rapport à l'écoute de nos élus. 
Des concertations publiques, des budgets participatifs, quasiment toutes les grandes communes en proposent. Chaque institution publique a sa propre plateforme pour donner son avis, déposer des pétitions, répondre à des enquêtes pour améliorer son quotidien. Mais qui y répond ? Toujours les mêmes.
Il y a 4 grands freins à la participation citoyenne :
- La fracture numérique et sociale :
- Tout le monde n'a pas l'élan d'utiliser le numérique pour répondre à des questionnaires. Quand bien même, ce serait pour leur bien
- Et même avec des réunions publiques en présentiel, les horaires sont rarement adaptées à tous et toutes.
- Le faible intérêt pour le sujet :
- Quel intérêt de demander l'avis de la population sur la modification de l'alinéa 3 d'un obscur article du code civil ? Avec un sujet aussi mal formulé, les citoyens s'épuisent et ne prennent même pas le temps de s'intéresser aux prochaines propositions
- Le manque de communication :
- Vous pouvez faire ouvrir autant de consultations que vous voulez, si personne n'est au courant, vous aurez un taux de participation très marginal
- Le flou sur l'utilité de la démarche :
- A quoi bon donner mon avis, si derrière je ne suis pas écouté ?
- Est-ce que je valide juste un civic washing des élus en participant à leur processus ?
Face à ça, les 3 piliers de la démocratie participative deviennent centraux :
- Rendre visible ce qui existe
- Faire preuve d'empathie à travers la coopération et la remise en question
- Faire preuve d'humilité à travers le droit d'interpellation et la gouvernance partagée
Le droit d'interpellation, à travers les pétitions peine à trouver sa place, en témoigne la quantité indécente de pétitions signées ces dernières années sur les sites officiels et associatifs.
La transparence et la communication, en revanche, commencent à se mettre en place. A travers les plateformes de données ouvertes (type data.gouv.fr) par exemple, ou des sites qui recensent l'ensemble des concertations publiques qui pourraient vous concerner, en fonction de votre localisation (type opinoi.fr)
Paragraphe écrit par Vianney Morin - opinoi.fr

🧩 Ce qu'on sait sur la Fraude du Nom Légal
"Fraude du nom légal" est un concept qui circule surtout dans des cercles alternatifs / "sovereign citizen", "êtres souverains".
C'est l'idée selon laquelle :
- À la naissance, un nom légal (entité juridique) est assigné par l'État, ce nom serait en fait une "fiction juridique" imposée. 
- Cette "assignation" serait une forme d'emprisonnement identitaire, de cession de pleine souveraineté à l'État, etc. 
- Certains pensent qu'il y a une différence entre l'Être vivant / l'âme et la personne légale, et que ce nom légal est frauduleux, un "contrat implicite" imposé. 
Quelques sources critiques :
- Le Monde / Les Décodeurs parle du "canal fraude du nom légal" comme faisant partie de la mouvance "être souverains", un narratif complotiste. Le Monde.fr 
- Les Surligneurs publient des analyses juridiques : ils considèrent souvent les affirmations "fraude du nom légal" comme faux ou non fondées sur le droit positif. Les Surligneurs 
- Article de Marianne : "fraude au nom légal" décrit comme une "manœuvre étatique aux fins de travestir l'identité réelle" — mais dans un cadre très polémique, plus rhétorique que juridique. Marianne 
- Décision de la Cour d'appel d'Angers : une partie du dossier mentionne invoquer la "fraude au nom légal" comme argument juridique. Cour de Cassation 
- Revue de droit McGill : réflexion sur le nom comme institution sociale, la tension entre ce que l'on porte comme nom et ce qu'on est. 
🗝️ Ce qui est vrai / utile à savoir
- Il existe une vraie question politique et philosophique : la dépendance à des documents pour exister socialement et circuler. 
- Historiquement, la généralisation du passeport et du contrôle d'identité est bien liée à la guerre, à la sécurité des États et aux flux migratoires. Après la Seconde Guerre mondiale, la codification internationale des papiers d'identité et des passeports (ONU, conventions de 1945-1948) a renforcé cette rigidité des frontières et du contrôle des populations. 
- Juridiquement, parler de « fraude » ou de « contrat caché » n'a aucune valeur devant les tribunaux ; cela ne peut pas être utilisé pour annuler des dettes, refuser l'impôt ou se dire « hors système ». 
- Les personnes qui ont tenté de se désolidariser de leur « personne légale » devant les tribunaux ont systématiquement perdu : les juges rappellent que la loi s'applique à tout résident du territoire, indépendamment de ses croyances. 
- Le discours sur la "fraude du nom légal" naît surtout dans les années 1970-1980 dans des mouvances dites sovereign citizen au Canada, aux USA, puis en Europe. 
- Il part de l'idée : « l'État aurait transformé l'être humain en personne morale pour l'assujettir », et que les papiers d'état civil seraient un contrat caché : un contrat d'asservissement, donc sans le consentement de la personne, c'est un contrat d'esclavage. Et un esclave qui se rebelle d'etre esclave, c'est compliqué (et je renvoie sur la drapétomanie, cette "maladie mentale" que les phalocrates psychiatres ont créé pour dire que les esclave qui voulaient s'enfuir étaient fous de vouloir s'échapper...oui oui) 
- Les vraies marges d'action sont : militer pour des réformes du droit de la nationalité, du droit d'asile et de la liberté de circulation. 

La Désobéissance Civile - l' Insoumission Civique
Désobéissance civile ou l'insoumission civique est le refus assumé et public de se soumettre à une loi, un règlement, une organisation ou un pouvoir jugé inique par ceux qui le contestent, tout en faisant de ce refus une arme de combat pacifique via des modes d'actions illégaux.
La citoyenneté ne doit pas être un carcan, une prison, mais une Force Libératrice. Il est temps de briser les chaînes de ce contrat tacite et de construire un monde où chaque individu est libre de choisir son appartenance et de s'épanouir pleinement, sans être réduit à l'état de simple "produit" d'une nation.
Et nous sommes nous meme des esclaves qui utilisons d'autres esclaves dans d'autres pays. D'où l'empreinte esclave.
Pouvoir se dire qu'on peut ne pas voter est un PRIVILEGE car même si voter ne fera pas changer du tout au tout : on peut RALENTIR et s'offrir du temps pour voir venir. Il ne faut pas agir avec Complicité. Et la Complicité, c'est laissez faire, ou agir dans le sens des agresseurs. Il faut pas oublier : si vous votez c'est pour de la Justice Sociale. Et si vous êtes au sommet de la hierarchie, c'est pas VOUS qui avez besoin de justice, c'est les Autres. Donc soit c'est pour vous directement, soit c'est pour vous indirectement car la justice favorise TOUT le monde. C'est bien le principe essentiel entre un état totalitaire comme le patriarcat et un état de droit comme le demande les féministes avec un société Matri-linéaire.







