TransGenrisme

- Attachement Evitant : schéma narcissique, peur de l'engagement, parle que de son indépendance car il est dans la dépendance affective mais a un énorme déni dessus. C'est la forme d'attachement traumatique la plus commune car c'est celle qui est la plus valorisée dans la société, c'est celle créé par le stéréotype de genre masculin. Qui est aussi repris par ce qu'on appelle les Femmes Fortes, les Girl Boss, qui veulent être considérées comme les hommes en étant autant misogynes qu'eux. C'est être orgueilleux dans le schéma de compétition, c'est compensé notre manque d'estime de nous même par notre Orgueil. Ici c'est le schéma de faire Subir car on doit dominer car c'est la Compétition. C'est le Déni de l'Emprise par la Peur. Ca va donner la Xénophobie : tout le monde est un ennemi donc personne peut me dire quoi que ce soit "only god can judge me".

- Attachement Anxieux : schéma créé par le stéréotype de genre féminin. Vu qu'on apprend aux femmes qu'elles servent à servir ces messieurs, alors elles apprennent très tôt à prendre toute la charge mentale sans aucune reconnaissance, et que pour en avoir, on doit se faire cracher dessus avant pour exhausser les souhaits de ces messieurs. Dans ce schéma il y aura aussi les hommes qu'on dit "efféminés". Ici on ne compense pas notre manque d'estime de nous même, on essaie par tous les moyens que l'autre nous donne cette estime qui nous manque. Ici c'est le schéma de "c'est normal de subir". C'est l'Emprise par la Peur. Ca donne la Dysphorie, jamais assez bien pour être aimé.e

1 + 1 = -1

Car la personne est Annulée / Supprimer / Volée / Annihilée

1 + 1 = 3

Car ensemble iels créent la Vie avec des projets pour le bien commun.

Schéma du trouble narcissique, qui est juste l'essence de tous les troubles psychiques. C'est la dissociation traumatique originelle qu'on nomme Blessure Originelle ou Blessure Narcissique ou Blessure d'Abandon.

C'est le trauma transgenerationnel de la Société patriarcale.

Schéma de la Société Matri-linéaire que les Féministes Radicales veulent construire. C'est une société comme chez les Bonobos : Peace & Love. Comme nous sommes censés être en Être Sociaux Sains.

La dysphorie de genre constitue à la fois une condition associée aux personnes transgenres et le nom d'un diagnostic médical. Le terme est proposé pour la première fois en 1973 en alternative à la rigidité des critères de diagnostic de la typologie du transsexualisme « classique » décrite par le sexologue Harry Benjamin. Dès son origine, la dysphorie de genre décrit le malaise persistant ressenti par les personnes transgenres vis-à-vis de leurs caractéristiques sexuelles et leur genre assigné, alimentant un désir intense et durable de changer ces derniers.

Pour la plupart des sujets, il existe une concordance entre le sexe attribué à la naissance, l'identité de genre et le rôle de genre. Cependant, ceux qui ont une dysphorie de genre ressentent une détresse associée à un certain degré d'incongruence entre leur sexe de naissance et leur identité de genre. La dysphorie de genre est un diagnostic dans le DSM-5-TR (la bible des troubles psy pour l'institution médicale), et est divisé en 2 ensembles de critères diagnostiques, un pour les enfants et un pour les adolescents et les adultes.

Si un individu éprouve ou montre une incongruité ou une non-conformité de genre, cela n'est pas considéré comme un trouble. Il est considéré comme une variante normale de l'identité et de l'expression de genre humain (on peut se rappeler des "tomboy" - "garçons ou filles "manquées"). Cependant, lorsque le déséquilibre perçu entre le sexe de naissance et l'identité de genre ressentie provoque une détresse importante ou un trouble fonctionnel, un diagnostic clinique de dysphorie de genre peut être approprié. Le diagnostic est défini par la détresse de la personne plutôt que par la présence d'une incongruité ou d'une identité de genre.

La détresse de la dysphorie de genre est généralement décrite comme une association d'anxiété, de dépression, d'irritabilité et du sentiment omniprésent de ne pas se sentir à l'aise dans son corps. Les sujets présentant une dysphorie de genre sévère peuvent présenter des symptômes sévères, inquiétants et anciens. Ils ont généralement un fort désir de changer leur corps médicalement et/ou chirurgicalement pour que leur corps corresponde plus étroitement à leur identité de genre.

Pour la lutte féministe :

- il est plus rentable que les femmes, soit 51% de la population travaille aussi, et consomme aussi,

- le fait que les femmes travaillent fait que les enfants sont placés plus vite sous l'égide de l'école / de l'institution. On retire donc l'éducation parentale et surtout de la mère qui restait à la maison.

C'est l'objectisation de la femme en tant qu'objet consommateur et consommé car c'est aussi le début de la pornographie. En plus de leurs enlever leur responsabilité parental un peu plus pour mettre les enfants plus tôt sous la tutelle de l'école pour toujours plus uniformiser, conformiser.

C'est la négation, l'objectisation encore un peu plus des femmes & des enfants.

> c'est pourquoi est né le nom "éco-féminisme" pour essayer de récupérer notre lutte. Mais changer le terme, c'est se soumettre un peu.

Ensuite, pour la lutte homosexuelle :

ces mêmes profiteurs voulaient faire passer la pédophilie / la pédocriminalité pour de l'homosexualité. "on aime les hommes, mais plus jeunes."

Donc c'est l'objectification des enfants reconnus comme objets sexuels, objets de désir. C'est la Négation de l'existence des enfants / l'objectisation des enfants dans la lutte pour la reconnaissance des personnes homosexuelles.

Vous pouvez en entendre parler dans le documentaire sur Alfred Kinsey et les pédomanes plus haut.

Aujourd'hui, dans la lutte Trans :

elle luttait pour les droits des personnes transexuelles et d'autant plus les intersexes, s'est fait reprendre par les personnes qui se disent transgenre.

Au lieu de reconnaitre les intersexes comme le 3e Sexe, l'idéologie transgenre veut faire passer un 3e Genre en faisant passer le sexe biologique comme un accessoire changeable à son désir. C'est L'Objectivisation Sexsuelle pousser à son paroxysme : le sexe, la biologie, est accessoire.

Dans l'idéologie trans, "une femme transe est une femme", alors que la définition substantielle d'une femme est une femelle humaine adulte. C'est censé être une femelle mature, physiquement & psychologiquement.

J'appellerais cela la PsychoBiologie.

C'est ici le déni de sa propre Identité Biologique, de son intégrité physique.

L'idéologie transe veut ouvrir les hormones aux enfants pour les faire transitionner le plus tôt possible : c'est encore l'objectisation des enfants.

On fait croire que l'idéologie transgenre est un moyen de rébellion contre les diktats de stéréotypes de genre aliénants. Mais c'est faux, et soumet d'autant plus fort, d'autant plus profondément dans le corps tous les traumatismes psychologiques subis, à Vie.

Car autant on peut guérir d'un traumatisme psychologique, mais on ne peut pas guérir d'un changement de sexe. Oui les soins du psychotraumatisme existent, mais ne sont pas DU TOUT bien gérées / rendus accessibles.

• C'est la Résignation de la société pour ne soigner les victimes psychiquement, car le principe de la société se base sur le biais que les maladies psychiques ne sont pas guérissables ; car le lien entre trauma maladie psychiques n'est pas assimilé. Mais tout cela est COMPLETEMENT FAUX. Donc à la place on cachetonne à vie pour des camisoles chimiques pour une illusion de soins.
• C'est la récupération politique de la lutte des transexuels : les InterSexes, par les transgenres. C'est l'invisibilisation de la lutte pour la visibilisation des personnes intersexes pour un 3e sexe, à juste titre, et qui ont subi énormément de traumatismes par la médecine eugénisme par assignation forcée (voire chapitre 1 Sexe & Genre) pour faire passer l'assignation "choisie"

• C'est la négation de la Biologie ("un pénis féminin"), la négation de la Réalité. La perversion de l'identité.
• C'est le paroxysme de l'objectivisation sexuelle en mutilant les gens, et d'autant plus les fillettes : en mutilant le corps des filles pour qu'elle ne puissent plus atteindre l'orgasme.
• Si il y a ablation des organes génitaux (orchydectomie & hysterictomie), iels sont médicalisé.es à vie : les pharmaceutiques se frottent les mains.
• C'est la colonisation des milieux féminins par des hommes (les femmes trans) avec le cas d'agressions sexuelles :

Les femmes lesbiennes sont celles qui sont le plus touchées par ce problème, et tous les milieux féminins sensibles (toilettes, douches, vestiaires, dortoirs) par les "femme trans" et leur "penis féminin".

Les femmes passent aussi en dessous de leur propre catégorie en compétition avec les femmes trans puisqu'elles arrivent en dessous des trans dans le classement.

• Les trans ont plus de risquent d'avoir des cancers et autres problèmes de santé (source)
• C'est se faire de l'argent grâce à l'argent publique sur le dos des femmes majoritairement et des hommes en détresse psychique qui cherchent quoique ce soit pour fuir l'oppression de la domination masculine (car c'es remboursé par la sécurité sociale et ça coûte extrêmement cher)
• C'est juste la continuation des travaux pas éthiques du tout sur le transhumanisme : l'eugénisme, de manière légale et complètement démocratisée, remboursée par la sécu pour engraissé Big Pharma.
• les porteur.ses de vérité sont très attaquées et harcelées pour être silenciées, qualifié.es de transphobe par une minorité qui est très agressive, surreprésentés par ces hommes virulents qui veulent un "pénis féminin", ces femmes transe.

C'est le cheval de Troy d'une catégorie d'hommes pour infiltrer les milieux féminins, et

C'est de la PsychoChirugie : La Manifestation de la Déchéance de l'état de la Médecine Psychologique dans notre société.

C'est essayer de faire d'un problème psychique un problème physique car toute la société est construite sur le physique et ses stéréotypes de genre.  Nous nions tellement la santé mentale des gens qu'on préfère les envoyer chez le chirurgien ou l'endocrinologue pour changer leur corps. C'est vraiment horrible ce qu'il se passe. Ça montre toute la détresse psychique de notre espèce. On a poussé le trauma jusqu'à la négation de sa propre identité, de son intégrité, de sa naissance, pour le revendiquer.

Ainsi, c'est encore et toujours se faire de l'argent et de la jouissance sur les discriminées sur lesquelles on fantasme, comme le principe de l'exotisation : l'érotisation des femmes racisées. L'idéologie Trans vise d'autant plus les femmes handicapées, car un bon nombre sont autistes, et toustes sont en dysporie, donc en détresse psychique grave. Leur phrase d'accroche est "préférez vous un garcon mort ou une fille vivante" pour menacer au suicide.

La catégorie la plus traumatisée pour engraisser Big Pharma toute leur vie : se faire de l'argent sur leurs victimes, le profit de la vie, le paroxysme de la vie.

Les chiffes sont issues de cette conférence que je vous recommande, bien sourcée.

Les Hormones

On vit dans un monde où on prévient des DOMMAGES des perturbateurs endoriniens, et de l'autre on VEND des bloqueurs de puberté et des hormones croisées à des enfants remboursé par la sécurité sociale. 

Les hormones ne sont pas reversibles et sont vraiment très deleteres pour le systeme, et d'autant plus pour des enfants. La fin de la maturité psychologique est à 25 ans. En les poussant à la transition, nous les condamnons à ne jamais pouvoir s'accepter telles qu'iels sont pour le reste de leur vie. Les cas de suicides ne baissent pas après la transition. 

Les trans ne peuvent plus expérimentée l'orgasme. Les bloqueurs de puberté, au stade 2 de Tanner ça peut aller à 10 ans (échelle de puberté), empêchent d'expérimenter l'orgasme. et enlèvent la libido. Les hormones étaient utilisées pour la castration chimique des violeurs & agresseurs sexuels.

Et c'est donc ça qu'on donne aux enfants. On va jusqu'à donner aux victimes les solutions qu'on donnerait à leurs agresseurs.

Physiologiquement, c'est s'injecter notre opposé directement dans la peau alors que le corps est fait littéralement pour son opposé.

De plus, les hormones, notamment la testostérone es addictive : c'est une amphétamine qui donne beaucoup d'énergie !

80% des trans n'auraient pas l'intention de changer de sexe, mais juste de prendre des hormones.

Les Détransitions

A l'époque, il y avait 1% de détransition car le public trans était majoritairement constitué d'hommes adultes. Ainsi leur idées etaient plus posées dans leur tête avec leur vécu.

Aujourd'hui, nous fessons état de 20% de détransitions. Et il y a une surreprésentation des autistes dans les detransitionnistes avec 35% des mineures traitées étant dans le spectre de l'autisme. 

Et les autistes ont 4 fois plus de risques d'avoir un syndrome de stress post traumatique complexe, signifiant 4 fois plus de risque d'être traumatisé par la violence subie. Donc c'est logique qu'iels soient aussi représentés ici. D'autant plus que les autistes sont plus innocents pour croire les gens, c'est pour ça qu'elles ont plus de risques d'être oppressée dans des relations toxiques. 

Les trans sont une population très fragile. Et c'est aussi pour ça que lorsque des personnes s'intéressent enfin à elles dans des groupes de militantisme trans, elles se sentent enfin reconnues. Les collectif transe leur apportent l'écoute et la reconnaissance de leur souffrance que les autres ne leur ont pas assez apporté, et que la médecine complaisante n'a pas pu apportée non plus.

C'est logique de ce fait que des mineure en construction psychologique très fragiles puissent penser à la transition à cause de leur détresse psychique, et d'être soutenue par toute une communauté. 

80% des enfants dysphoriques suivis psychologiquement se racommodent avec leur genre à l'adolescence. Et une bonne partie devient homosexuelle.

Avec leur réalisation, les trans ont d'autant plus de dysphorie en ne sachant pas à quoi iels étaient supposées être.

L'Effet de Mode : La Contagion par Sympathie

Il a été remarque que les révélations trans se faisait souvent par groupe de filles dans des classes. Ainsi, on peut remarquer un phénomène de contagion émotionnelle pour l'intégration des caractéristiques de l'autre, quand on se noie dans les émotions des autres pour les faire siennes.

La contagion émotionnelle ou contagion affective est le transfert des émotions d'une personne émettrice vers une personne réceptrice. Elle doit être distinguée de la sympathie et de l'empathie.

Différents facteurs influent sur l'intensité de celle-ci, dont principalement :

• l'intensité avec laquelle les émotions sont exprimées ;
• l'attention et l'importance accordés par le récepteur.

Considérons par exemple deux meilleures amies qui discutent. L'une est triste à cause d'un problème de famille. La deuxième, selon l'importance qu'elle accorde à l'émetteur, se met à sa place et donc ressent sa tristesse et sa mélancolie.

Et ce pendant une certaine durée. Certains restent dans cet état jusqu'à leur soulagement en ce qui concerne les émotions du récepteur (c'est-à-dire quand ils seront sûrs que l'émetteur n'est plus triste). C'est à ce moment-là qu'ils arrêteront de "se mettre à la place" de leur interlocuteur.

A noter que ce syndrome peut atteindre les personnes extrêmement sensibles, lesquels donnent une grande importance aux autres et à leurs sentiments.

Le Syndrome de Münchausen

Le syndrome de Münchhausen, également appelé « pathomimie » ou « trouble factice », est un terme désignant une pathologie psychologique caractérisée par un besoin de simuler une maladie ou un traumatisme dans le but d'attirer l'attention ou la compassion. Il s'agit de la forme la plus grave des troubles factices, associée à un pronostic très défavorable à long terme. Cette pathologie est souvent associée à un trouble sévère de la personnalité, notamment "borderline" (trouble de la personnalité limite) ou encore psychopathique.

Ce symptôme cache une vraie maladie sous une autre.

C'est l'inverse du Déni qui réfute la maladie : là on se sent malade, mais pas par la vraie maladie.

Ce syndrome peut également exister par procuration : les parents désirant tellement que leur enfant soit spécial qu'il font tout pour lui faire croire qu'iel est malade. Ainsi, la "spécialité" de l'enfant définit par sa maladie deviendra le sens de la vie du parent qui pourra devenir très militant et se servir de son enfant pour avoir des vues sur les réseaux par exemple.

La Mutilation Génitale

La mutilation est une perte partielle/totale d'un membre, d'un organe ou la destruction/dégradation partielle d'une ou plusieurs parties du corps sans cause intentionnelle de donner la mort. Le terme mutilation désigne également l'action de mutiler, c'est-à-dire, amputer avec violence ou détruire/dégrader partiellement une partie du corps.

Hystérectomie & Orchidectomie : on retire les gonades, les glandes de créations de gamètes, les ovaires, et les testicules.

Si on enlève ça, on est médicalisé à vie avec des hormones à prendre car ce sont ces organes là qui produisent les hormones.

Phalloplastie : création d'un néo pénis

Vagynoplastie : création d'une néo vulve

Torsoplastie : ablation ou création de la poitrine. Et lorsqu'on enlève la poitrine chez une femme, c'est aussi les glandes mammaires, une torsoplastie est définitive.

Les hormones atrophient tellement les organes sexuels, comme une hypertrophie du clitoris qui gonfle, pouvant vraiment gêner les femmes dans tous leurs mouvements et leurs vêtements. C'est pourquoi certain.es qualifient ça déjà de mutilations.

Il est toujours plus compliqué de transitionner un femme en homme car l'appareil sexuel féminin est plus compliqué.

Le principe pour changer de sexe est de tout enlever : on coupe le penis et les testicules on enlève. On enleve le système reproducteur féminin.

• Pour créer un neo vagin, ca se fait soit avec un bout d'intestin, soit il retourne la peau du penis pour en faire un fourreau. Fourreau qui doit être constamment dilaté avec un dildo car c'est une plaie que le corps essaie de refermer. Fourreau qui n'est bien sur pas lubrifié et pas auto-nettoyé comme un vagin. Et il arrive que les sexes partent en lambeau, se décomposent.

• Pour créer un néo-pénis, on découpe un bout de bras, ou de cuisse, pour faire un boudin autour d'une pompe pour dresser le pénis.

Et je vous passe les détails super compliqués pour tous les canaux car c'est quand même une zone très irriguée. Ces neo-sexes ne sont pas fonctionnels et les personnes reportent beaucoup de complications et les cliniques abandonnent leurs patient.es si iels ont des complications ou veulent détransitionner.

Ca couterait au bas mot 100 000€ pour la transition d'une personne.

AutoGynéphilie : État d'une personne née avec une biologie mâle qui souhaite devenir une femme en étant motivée par l'excitation que le corps d'une femme lui procure en tant qu'homme.

• Dans le cas de l'autogynéphilie, au lieu d'être une question de vie ou de mort, c'est clairement d'un gain de jouissance qu'il s'agit. — (Claude Habib, La question trans, Gallimard « Le débat », 2021, pages 17-18)
• L'idée qui sous-tend donc l'hypothèse de l'autogynéphilie est que la sexualité serait la motivation des demandes de transition transsexuelle, c'est-à-dire, pour être bref, une demande perverse qui viserait à se créer comme son propre objet d'excitation et ainsi se satisfaire de soi en circuit fermé. — (Filigrane, vol. 28, no 1, 2019, page 58)

Les pratiques de travestissement s'accompagnent d'une excitation érotique intense allant parfois jusqu'à l'éjaculation. C'est l'Amour de Soi en tant que Femme. C'est la Fusion. Ne faire qu'un avec l'objet de son désir est moins rare qu'on le croit.  D'où la grande tendance des Drag Show. C'est pour ça que les drags sont si ostentatoires sur les stéréotypes visuels. Iels représentent le fantasmes de beaucoup d'hommes qui n'osent pas. Mais encore ça reste un rôle. Le drag est a l'opposé de l'écologie. C'est la superficialisation des corps, et le trans, c'est un autre niveau.

Truffaut disait "si j'étais femme je me caressais les mains toute la journée"... c'est tellement degradant de résumer une femme à un objet sexuel.

Une paraphilie (du grec παρά / pará, « auprès de, à côté de » et φιλία / philía, « amitié, amour ») est une pratique sexuelle qui diffère des actes traditionnellement considérés comme normaux, ou le fait d'éprouver une attirance sexuelle considérée comme anormale qui cause une détresse ou une altération cliniquement significative dans la vie de la personne, ou lorsqu'elle entraîne des comportements qui nuisent à autrui.

On se rappelle : la sexualité saine c'est la sapiosexualité qui répond à nos besoin physiologiques (cf Chapitre 1).

L'autogynephilie est moins rare qu'on ne le pense, et un psychiatre accompagnant des  personnes en transition poouvait dire qu'il y a environ 50% de personnes concenées. Bien qu'il soit encore compliqué de faire ces statistiques.

Je pourraid mettre en parallèle de l'autogynéphilie avec l'érotomanie comme un délire que l'autre version de moi-m'aime. C'est un délire de Fusion.

L'érotomanie ou syndrome de Clérambault, est la conviction délirante d'être aimé, désiré. Loin de l'obsession d'un amour non partagé, c'est une forme de psychose paranoïaque de la catégorie des délires passionnels, où la haine de l'autre est, par un renversement des positions subjectives, déguisée en « conviction illusoire d'être aimé ». De la même manière que dans le délire de persécution où l'individu est persuadé d'être l'objet de malveillances imaginaires, l'érotomane est persuadé d'être l'objet d'une bienveillance amoureuse, tout autant délirante, de la part d'autrui.

Les autogyniphiles sont ceux qui vont transitionner en femme pour se considérer lesbienne. Sauf que les lesbiennes les repoussent car elles sont donc attirées par le sexe feminin et non un "pénis féminin". Ces femmes trans à pénis visiblement oppressants n'hesiteraient pas à qualifier de transphobes les lesbiennes pour être homosexuelles. 

En plus de l'approche direct avec les femmes il y a la fréquentation des liens spécifiquement pour les femmes où les femmes sont très vulnérables : toilettes, douches, dortoirs.

Ainsi, il a été reporté 12 cas de viols dans des prisons. Et dans une cellule tu peux pas fuir. Des loups dans la Bergerie. Des cas sont apparus d'hommes qui commençaient leur transition avant de partir en prison pour être incarcérés dans des prisons des femmes.

Pareil dans les milieux lesbiennes, toilettes, bars... Les lesbiennes sont les premières touchées par cette négation de l'identité sexuelle par cette minorité dans la minorité.

On peut aussi relever les milieux sportifs ou les hommes, femmes trans, volent le podium aux vraies femmes.

Les Femmes se font voler leurs milieux par des hommes, encore. 

Les Investisseurs - L'Etat Profond  (source)

Aujourd'hui, le marché de la transition hormonale représenterait 1,6 milliards de dollars.

Lobby pharmaceutique, les riches, et les pervers eugénistes, jusqu'à l'industrie du X.

• Big Pharma : Lobby pharmaceutique.

  Laboratoire Abbvie qui finance la société endocrimologique pédiatrique ; le labo Guiléade, qui font des médicaments contre le sida dont les personnes trans sont beaucoup touchées, donc elles ont aussi interets à injecter dans la cause pour faire la promotion de leurs médicaments ; Endopharmaceutical qui produit des hormones croisées après avoir fabriqué des opioides ultra addictifs aux USA, ils sont accusés de partout, doivent de l'argent, et maintenant ils produisent des hormones.

• Plume start up créent des box par poste pour hormones aux USA avec un marketing super attractif pour les jeunes pour leur kit d'injection.

• selon LGBT Fenders (groupe de "philantrhopes") : 36 millions d'injecter pour faire rentrer la notion de genre

• le petit fils de Warrent Buffet, une des personnes les plus riches du monde grâce à la bourse.

• Les héritiers Disney

  
  

• des multimilliardaires parce qu'ils y croient ou qu'ils ont eux meme transitionnés. Comme Jennifer Prisker : un héritier devenu une héritière des hotels Ayat. Il a créé la fondation tawani, où il injecte enormement pour financer des programmes dans les universités, université du minessota, 6 millions pour faire prosperer cette ideologie ou alors subventionner les hopitaux / les cliniques qui font transitionner les enfants.

• John Striker, descendant de la personne qui a inventé le lit d'hôpital, donc entreprise médicale tres puissante, Arcus fondation, 30 millions injectés sur plein d'associations pour promouvoir l'identité de genre. Ou alors financer les médias pour faire passer l'idéologie, à faire des partenariats avec l'équivalent de l'Agence France Presse aux USA, Netflix, l'American Psychological Association...

• L'ex de Jeff Bezos,

• La Ford Fondation

• l'investiture de Joe Biden financé par des mouvement transgenristes pour recevoir plus d'ouvertures de lois.

Ces personnes là, majoritairement des femmes trans, ces hommes qui veulent transitionner en femme et rentrer dans les milieux exclusivement féminins sont les plus virulents envers les féministes. Ainsi, ils mettent des procès, harcèlent, ils appellent à la cancel-culture : les bannissant en les traitant de transphobe, comme avec Dora Mouto & Marguerite Stein et leur livre Transmania. Donc avec leur grande gueules, ils diffusent la division de la cause féministe qui lutte pour les droits des femmes, le droit de la vie, de la Santé, et non des hommes qui veulent pas être des hommes et qui utilisent notre mouvement pour rejeter les femmes ! (Attention, tous les hommes qui transitionnent en femmes ne sont pas comme ça.) 

Et ainsi, à force de dire que les féministe qui prônent leurs sexes dans la réalité biologique sont des transphobes fascistes, alors l'écho prend, et la cancel-culture se fait sur les porteurses de vérite, les porteurs d'alertes. Comme il a toujours été. C'est la culture du Silence, la Silenciation des Victimes.

Ce sont toujours les memes mécanismes de la violence mis à l'oeuvre, alors que le principe du féminisme est de lutter contre ces mécanismes là précisément, tous ces biais maladifs.

C'est ce qu'on appelle l'extrémisme de gauche ou les extreme-woke.

Ainsi, même à l'école, on peut avoir des profs qui se font taxer de transphobes si iels expliquent la biologie sexuelle. On peut voir un homme trans  ( une femme qui a pris des hormones et qui a encore tout son système reproductif) enceinte sur le planning familial. On nie profondement la Réalité Biologique.