Préambule

"La Violence est le résultat de la Frustration de la Non Compréhension de Notre Nature."

J'ai posé mes textes mais j'ai pas fait la mise en page c'est encore en construction, il me reste des schémas à mettre et autres.

+ de compréhension / d'empathie = - de frustration, - de violence, - de conflits


Table des Matières


Tout ce que je raconte là est tout ce que j'essayais de transmettre à mon partenaire depuis 5 ans pour lui faire prendre Conscience de ce qu'il se passait de lui à moi : de la violence conjugale. Aujourd'hui je le mets en mots car tout le monde devrait savoir ça pour mieux se protéger et mieux se guérir, pour qu'on puisse vivre entre personnes saines. Car il a donc Abusé de ma Pitié pendant 5 ans.

Psychologie, philothérapie, socio-psychologie, psychiatrie, histoire, psycho-criminalité... autant de thèmes que j'aborde ici pour avoir un regard holistique sur une mécanique aliénante pour nous en faire arriver à l'état du monde actuel.

J'ai étudié la psychologie et la socio-psychologie en autodidacte depuis toujours et assez intensément (un intérêt spécifique lié à mon autisme) car j'ai été très traumatisée de ce que j'ai vécu avec mes parents, avec un père vraiment violent. Ma mère et lui étaient énormément traumatisés. Mon père a été jusqu'à faire exploser une bombe sur ma mère à mes deux ans, « pour l'aider à se faire soigner, car avec tous les médecins, elle aura beaucoup d'attention sur elle » disait-il pour se justifier.

Mais comment on peut en arriver à de tels extrêmes que de tuer par « Amour » ?

Cette question m'a portée depuis lors jusqu'à aujourd'hui où j'ai enfin la réponse.

J'ai commencé ma vie sur un traumatisme : l'emprise de ma mère pour mon père qui voulait la tuer « par Amour » : on appelait ça alors « un crime passionnel ». Aujourd'hui, on appelle ca à Juste Titre un Féminicide.

Traumatisme à partir duquel je n'ai pas cru en l'Amour pendant énormément de temps, du moins pas avec les humains, seulement les animaux. Je ne comprenais pas comment j'avais pu être désirée, je pensais être une erreur.

Et j'écris cette thèse après avoir été en couple avec un homme pour qui j'ai eu des idées et des envies suicidaires par Amour (violences psychologiques), avec qui j'ai été pendant 5 ans, et j'ai vécu 3 ans en dépression avec lui. J'ai tout essayé, et j'ai beaucoup Appris.

Aujourd'hui j'ai 30 ans, et j'ai enfin répondu à cette question que je me pose depuis toute petite, depuis toujours. Cette question m'a portée jusqu'à aujourd'hui, pour comprendre le fin fond du problème sociétal.

Comment on peut arrêter la Vie par Amour ?

On n'arrête pas la Vie par Amour,

L'Amour ne Tue pas, l'Amour fait Naitre.

Ce manuscrit est la Sublimation de ce trauma transgenerationel. Cette question enfin résolue. Aujourd'hui je sais que je suis la Naissance de tout l'Amour qu'avait ma mère pour un homme immature car traumatisé. Je suis née de l'Emprise de ma mère pour mon père. Et pour aimer un homme pareil, il faut avoir beaucoup beaucoup beaucoup d'Amour... L'Amour d'une mère pour son enfant. C'est tout ce qu'elle m'a transmis : « Et du Chao naissent les Etoiles. »

Ce livre est une sublimation de mes traumas, passé jusqu'à aujourd'hui.

NB : cet ouvrage est écrit en écriture inclusive.le plus possible.

Luna Goddess - Symbolic of the regenerative, life-giving forces of the cosmos, Luna Goddess represents the oon as a keeper of wisdom and magical power. Her hands connect above her head creatig a halo of sacred mowedde. ner oely contis me genesis or heat mum me darmess or me womo. sue nolas me trequency. of all hite hononng the Great Cosmic Mystery in balance with the manitestation of earthly creation. Using this symbol enhances sacred creativity within the consciousness of the individual, and on a larger scale, helps to maintain a sacred reverence for the darkness that is in the process of giving birth to light. Where darkness prevails on earth, within mdividuals or populations, Luna Goddess silently resonates a rememorance and a

renan to reason and oaruce. Wheausme als smoot on water, me poser or me Moon's maguenc resouance

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Définitions de base

Avant de commencer il est bien de partir sur quelques définitions pour poser quelques bases.

Santé : État physiologique normal de l'organisme d'un être vivant, en particulier d'un être humain qui fonctionne harmonieusement, régulièrement, dont aucune fonction vitale n'est atteinte, indépendamment d'anomalies ou d'infirmités dont le sujet peut être affecté.

En santé, la tête (la raison) doit être au service du cœur (le lien / la connexion).

Éveil : Action de sortir de son sommeil, de son engourdissement : L'éveil de la nature au printemps. Fait de se révéler, en parlant d'un sentiment, d'une faculté : L'éveil de la sensibilité. Fait pour quelqu'un de commencer à s'intéresser à quelque chose et à le comprendre.

L'éveil spirituel (appelée également « illumination », « Réalisation de Soi », « Libération », ou simplement « éveil »), désigne dans les traditions religieuses, mais aussi dans certaines philosophies, un retour à sa véritable nature, permis par l'abandon ou l'effacement de l'ego. Ce retour peut advenir de manière graduelle ou soudaine et se produire à la suite d'une pratique spécifique (par exemple dans le cadre du bouddhisme, de l'hindouisme, du soufisme, d'un contexte laïc), ou encore toucher brusquement une personne non préparée, à la suite d'un fort bouleversement. L'éveil prend parfois la forme mystique d'une extase ou union avec l'univers ou un principe divin (Samadhi)

L'éveil fait depuis quelques années l'objet de recherches universitaires dans différentes disciplines, notamment en sociologie, en neurophysiologie ou encore en psychologie où il est classé parmi les états modifiés de conscience.

Guérison : Retour à la santé, disparition d'une maladie ou d'une blessure.

Malade : Qui éprouve, qui souffre de quelque altération dans sa santé. Altération de l'état de santé se manifestant par un ensemble de signes et de symptômes perceptibles directement ou non, correspondant à des troubles généraux ou localisés, fonctionnels ou lésionnels, dus à des causes internes ou externes et comportant une évolution.

La connaissance de la maladie mentale par l'homme remonte à des siècles. La maladie mentale a eu différentes appellations selon les époques et l'appartenance culturelle. L'apparition du terme « maladie mentale » entraîne un changement des attitudes et des réactions de ceux qui se disent être « normaux » envers ceux qui sont considérés comme « anormaux ». La maladie est perçue différemment par l'entourage du malade et par le malade lui-même. La société peut demander à la famille d'élucider les diverses raisons de l'apparition de la maladie.

Fou : Qui a perdu la raison, qui est atteint de troubles mentaux : Être à moitié fou. Contraires : équilibré - normal - sensé. 2. Dont le comportement est extravagant, déraisonnable, imprudent ou malavisé

Souffrance : douleur physique ou morale.

Thérapie : prendre Soin, traitement pour guérir une personne malade.

Plus on attend pour guérir une blessure, plus elle s'aggrave.

Psychothérapie : La psychothérapie est un traitement par des moyens psychologiques qui vise à aider la personne à aller mieux ou à prévenir des rechutes. Elle comprend les soins ou l'accompagnement, prodigués par une personne formée à cela, à une ou plusieurs autres personnes souffrant de problèmes psychologiques, parfois en complément d'autres types d'interventions à visée thérapeutique.

Intégrité : État de quelque chose qui a toutes ses parties, qui n'a subi aucune diminution, aucun retranchement. État de quelque chose qui a conservé sans altération ses qualités, son état originels (ex : conserver l'intégrité de ses facultés intellectuelles malgré l'âge).

L'Amour : un fort sentiment d'affection et d'attachement envers un être vivant ou une chose, assez intense pour pousser ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, intellectuelle ou même imaginaire avec l'objet de cet amour. L'amour éprouvé pour une autre personne peut conduire à adopter un comportement particulier et aboutir à une relation amoureuse si cet amour est partagé. En tant que concept général, l'amour renvoie la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse et d'empathie envers une personne. En tant que concept général, l'amour renvoie la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse et d'empathie envers une personne.

L'Attachement : ce qui unit une personne, une collectivité à une personne, une collectivité, une fonction, un inanimé concret par des liens de dépendance (dévouement, service, parenté, intérêt)

AMOUR OU ATTACHEMENT - https://www.youtube.com/watch?v=ncFIHQNpdXQ

Donc quand on n'a pas d'Empathie, on ne peut pas aimer.

Le Respect : Sentiment de considération envers quelqu'un, et qui porte à le traiter avec des égards particuliers. Le respect évoque l'aptitude à considérer ce qui a été énoncé et admis dans le passé, et d'en tirer les conséquences dans le présent. Il peut ainsi être question du respect d'une promesse, du respect d'un contrat ou du respect des règles d'un jeu. Dans ces exemples, le respect évoque l'aptitude à se remémorer le moment dans lequel un être humain s'est engagé, respectivement, à tenir sa promesse, à satisfaire aux conditions du contrat, ou à se conformer aux règles du jeu.

Le respect, appliqué à un être humain, prend un sens plus proche de l'estime, et s'appuie sur l'aptitude à se remémorer les actes auparavant accomplis par ce même être humain, lorsque ceux-ci sont dignes d'être reconnus. Le respect ne doit pas être confondu avec la tolérance, car celle-ci n'a pas les mêmes motifs, et contrairement au respect, elle n'est pas incompatible avec le mépris.

Besoin : nous entendons le manque total ou partiel de quelque chose de fondamental pour la personne, sa survie et son bien-être. Cependant, tous les types de besoins ne sont pas identiques et tous ces besoins ne créent pas de la motivation à les satisfaire.

Pyramide des besoins des individus, ce dont tous les êtres ont besoin pour vivre, dans un ordre défini, en commençant par le bas bien sûr.

PYRAMIDE DE MASLOW

En d'autres termes, lorsqu'un besoin se fait sentir, c'est-à-dire lorsqu'il y a un déséquilibre entre ce que nous voulons et notre situation, la motivation nous pousse à agir en combinant nos compétences et nos valeurs.

Il existe 3 types de motivation :

primaire : motivations de nature physiologique qui impliquent des actions nécessaires à notre survie, comme boire ou manger.

Secondaire : elle survient dans les cas de nature sociale ou individuelle, découlant du processus de socialisation des individus, comme par exemple la compétition ou la coopération.

Niveau supérieur : ces motivations concernent la sphère de la persécution de ses propres objectifs selon ses valeurs et ses idéaux.

Pour Maslow, les motivations et les besoins sont en quelque sorte les mêmes et se répartissent plus ou moins dans les mêmes catégories. Les besoins sont structurés en degrés, et selon cette échelle de besoins, on ne peut pas passer à l'étape suivante si ceux d'un degré inférieur ne sont pas satisfaits en premier. Il existe donc une structure hiérarchique des besoins dans laquelle l'individu est représenté comme la somme de tous ces besoins : la reconnaissance de ces besoins permet de centrer l'assistance sur l'individu.

Maslow part de l'idée que les individus sont uniques et irremplaçables, alors que les besoins sont communs à tous : pour améliorer la condition des personnes, il est nécessaire de satisfaire les besoins fondamentaux de l'homme.

Les besoins sont divisés en besoins fondamentaux et supérieurs, et la non-satisfaction des premiers, comme nous l'avons vu précédemment, conduit à la non-réalisation des seconds.

Maslow rajoutera plus tard la dernière partie de la pyramide car la base avait été critiquée disant qu'elle était « trop fonctionnelle et schématique ». Il a donc inséré que la réalisation de soi inclut également une "auto-transcendance", dans laquelle l'individu vraiment accompli est celui qui inclut également des valeurs et des objectifs externes qui ont à voir avec la société et avec l'altruisme.

https://www.psychologue.net/articles/la-pyramide-de-maslow-la-theorie-des-besoins

Amour de soi, Amour propre : Les dictionnaires de psychologie définissent l'amour de soi par un ensemble d'attitudes : se reconnaître une certaine valeur, se ménager, protéger son territoire intime, sa santé physique et psychique, connaître ses intérêts réels. Il s'agit d'être une « bonne mère » pour soi-même.

Impossible d'être indifférent, neutre par rapport à soi-même. L'absence d'amour de soi débouche toujours sur des conduites auto-agressives, évidentes ou masquées.

• En premier lieu vient le manque de respect de sa propre personne. Sur le plan physique : je me néglige, je ne prends pas soin de mon apparence. Sur le plan affectif : lorsque mon partenaire me maltraite, me frustre, une partie de moi murmure que je ne mérite pas mieux. Je ne me résous pas à me prendre en main : je végète dans un travail sans intérêt, en me racontant que c'est toujours préférable à l'ANPE. Malade, je ne m'arrête pas, estimant que je n'ai pas le droit de me ménager, de m'occuper de moi. J'imagine n'avoir pas droit au bonheur, et je m'arrange involontairement, pour me construire une existence sans plaisir. Sans comprendre pourquoi, je stagne en permanence dans un état dépressif latent.

• Dans les cas les plus préoccupants, le manque d'amour de soi incite à des comportements dangereux – au volant notamment – constituant autant de défis à la mort. Surtout, il fragilise au point qu'un rejet, une rupture, un échec provoqueront parfois une tentative de suicide. Ne pas s'aimer contraint à douter d'avoir réellement droit à l'existence.

https://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Estime-de-soi/Articles-et-Dossiers/Comment-s-aimer-soi-meme/Pourquoi-l-amour-de-soi-est-indispensable

Narcissisme : Le narcissisme désigne l'amour de soi en référence au mythe grec de Narcisse tombé amoureux de sa propre image et qu'il meurt pour son image. Sans s'en douter, il se désire lui-même ; il est l'amant et l'objet aimé. Désespéré de ne pouvoir assouvir son amour, de l'impossible étreinte, Narcisse dépérit et meurt.

Le terme peut aussi bien désigner l'estime de soi qui ne s'équilibre dans celle d'autrui, qu'une confiance en soiexcessive, confinant à l'égocentrisme, c'est-à-dire non compensée par une considération d'autrui désintéressée : il va utiliser les autres comme faire-valoir, c'est-à-dire pour se mettre en valeur. En psychiatrie contemporaines, il figure à titre classificatoire dans le manuel des diagnostiques et statistiques des troubles mentaux (DSM V).

Psychopathologies : discipline peut être comprise comme une étude approfondie des problèmes liés à la santé mentale. Juste comme pathologie est l'étude de la nature de la maladie (y compris les causes, le développement et les résultats), psychopathologie est l'étude des mêmes concepts dans le domaine de la santé (ou de la maladie) mentale.

Trouble de la personnalité : désigne en psychiatrie et dans l'approche suivant les préceptes du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), une catégorie de traits de la personnalité mal adaptés impliquant fonctions cognitives et comportementales1. Les définitions peuvent varier selon d'autres sources

D'un côté, la personnalité, comme psychologiquement définie, désigne les traits comportementaux et psychologiques qui distinguent chaque individu. D'un autre côté, un trouble de la personnalité est défini par un ou plusieurs comportements différents des normes et attentes sociétales. Les individus diagnostiqués de troubles de la personnalité peuvent éprouver des difficultés en matière de cognition, d'émotions, de relations sociales et/ou interpersonnelles, et de contrôle des impulsions. En général, les troubles de la personnalité sont diagnostiqués chez 40 à 60 % des patients hospitalisés en psychiatrie, signifiant donc qu'il s'agit du diagnostic psychiatrique le plus fréquemment effectué.

  • Le groupe A :

Les troubles ont pour traits communs une apparence, un comportement excentrique. Il comprend les troubles de la personnalité suivants, avec leurs caractéristiques distinctives :

  • Paranoïde : La paranoïa est une psychose chronique caractérisée par un délire plus ou moins bien systématisé, la prédominance à l'interprétation, l'absence d'affaiblissement intellectuel, qui n'évolue pas vers une détérioration. (Persécuteur, érotomanie, jalousie, délire des grandeurs).
  • Schizoïde : Incapacité à éprouver du plaisir, froideur apparente, désintérêt pour les autres.
  • Schizotypique : Idées et comportements excentriques.
  • Le groupe B :

Les troubles ont pour traits communs un comportement excessif, émotionnels, ou erratiques. Il comprend les troubles de la personnalité suivants, avec leurs caractéristiques distinctives :

  • Antisociale : Irresponsabilité sociale, mépris des autres, tromperie et manipulation des autres à des fins personnelles.
  • Borderline : Les troubles de la personnalité borderline sont plus larges, (les 3 groupes cités peuvent rentrés dans la définition de borderline. Pour cette article, juste faire la différence entre les traits communs et caractéristique distinctives).Problèmes de solitude (peur d'être abandonné), de contrôle des émotions, comportement impulsif.
  • Histrionique : Recherche d'attention constante, comportement excessif. Trouble de la personnalité caractérisé par une tendance marquée à la dramatisation, au théâtralisme et à l'hyper expressivité émotionnelle. S'y associe fréquemment une suggestibilité avec en particulier une grande facilité à être influencé par autrui ou par les circonstances.
  • Narcissique : Amour propre fragile, besoin d'être admiré, vision exagérée de sa valeur personnelle (mégalomanie : orgueil démesuré, besoin excessif de la gloire, de la puissance...).
  • Le groupe C :

Les troubles ont pour traits communs l'anxiété, la crainte. Il comprend les troubles de la personnalité suivantes, avec leurs caractéristiques distinctives :

  • Évitante : Éviter les relations personnelles par crainte d'être rejeté.
  • Dépendante : Soumission, dépendance, besoin d'être pris en charge.
  • Obsessionnelle-compulsive : Perfectionnisme, rigidité, obstination.

https://www.psychologue.net/articles/types-de-troubles-de-la-personnalite

Les troubles psychiatriques se caractérisent par une diminution, voire une perte de l'aptitude de l'esprit à fonctionner normalement et à réagir de manière appropriée aux situations de la vie. Les personnes souffrant de ces troubles ne sont plus capables de s'adapter aux circonstances et peuvent présenter des troubles de la personnalité (anxiété, colère…), du comportement (déficit d'attention, hyperactivité…) ou de l'humeur (tristesse exagérée et persistante…). Ces troubles représentent aujourd'hui un enjeu majeur de santé publique puisque l'on estime que 1 adulte sur 5 a été, est ou sera concerné par une maladie psychiatrique au cours de sa vie. https://institutducerveau-icm.org/fr/maladies-psychiatriques/

Maladie mentale : En France, les troubles psychiatriques touchent plus d'1 adulte sur 5. Les troubles les plus fréquemment rencontrés dans la population sont la dépression, les troubles bipolaires, la schizophrénie, les troubles anxieux et les addictions.

L'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) définit la santé mentale par la « Composante essentielle de la santé, la santé mentale est définie comme « un état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés normales de la vie, de travailler avec succès et de manière productive et d'être en mesure d'apporter une contribution à la communauté ».

Déjà là il y a un souci car la définition de l'OMS de la santé mentale est biaisée sur une notion de « productivité » et de « travail ».

OMS qui a été financée en grande majorité par les Rockfellers voire Rotchields, la famille la plus riche au monde, qui créé littéralement le monde et la richesse.

https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/troubles-mentaux/présentation-des-soins-de-santé-mentale/classification-et-diagnostic-des-maladies-mentales$

Le sexisme est une attitude discriminatoire fondée sur le sexe1, ou, par extension, sur le genre d'une personne. Le sexisme est lié aux préjugés et au concept de stéréotype et de rôle de genre, pouvant comprendre la croyance qu'un sexe ou qu'un genre serait intrinsèquement supérieur à l'autre2. Dans sa forme extrême, il peut encourager le harcèlement sexuel, le viol ou toute autre forme de violence sexuelle3. Le sexisme évoque également la discrimination de genre sous la forme des inégalités hommes-femmes4. Les cibles du sexisme sont principalement les femme : la misogynie. Il existe la misandrie, et les transphobies.

La misogynie est un terme désignant un sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard des femmes motivé par leur sexe. C'est l'antonyme de philogynie. Dans certains cas, elle peut se manifester par des comportements violents de nature verbale, physique ou sexuelle, pouvant dans des cas extrêmes aller jusqu'au meurtre. Qui Hait les Femmes.

Ça veut dire que les misogynes verront la femme soit comme :

un utérus : une reproductrice,

un objet : une servante,

un objet sexuel : une prostituée.

Patriarcat : concept utilisé en anthropologie et en sociologie pour désigner « une forme d'organisation sociale et juridique fondée sur la détention de l'autorité par les hommes, à l'exclusion explicite des femmes »1. Le patriarche y occupe une position mythique de « père fondateur » supposée lui octroyer une autorité et des droits sur les personnes dépendant de lui (femme[s], enfants, famille élargie, subordonnés).

70 à 90% du langage est non-verbal.