CosmoGonie
Réécrire la Mythologie — De la Chute à l'Erection
Le Serment d'Hypocrate fut jadis le pilier de la Médecine :
Soigner sans Nuire, Servir la vie avant le pouvoir.
Mais au fil du temps, la médecine s'est industrialisée,
et l'esprit d'Hypocrate s'est vu trahi par ses propres disciples —
transformant parfois le soin en commerce, et la science en contrôle.
Ainsi naît aujourd'hui le Serment d'Agdistys,
comme un retour à la Médecine originelle :
celle de l'Âme, du Cœur et de la ConScience.
Ici, guérir ne signifie plus réparer un corps,
mais restaurer l'Equilibre du Vivant en Soi & entre Nous.
Ce serment s'inscrit dans la Charte du Vivant,
celle qui ne punit pas, mais rééduque ;
qui ne condamne pas, mais reconnaît ;
qui ne sépare pas le Bien du Mal,
mais Enseigne à Discerner avec Amour.
Voici les Valeurs que Nous Portons au Nom du Vivant.
Du Serment d'Hypocrate à celui d'Agdistys,
c'est la Médecine qui se féminise,
et la Justice qui se réhumanise. 🌿
Préambule
Je Me reLie à la Source du Vivant.
Je reconnais la Vie comme une ConScience qui se manifeste en toute chose.
Je jure de servir la Vérité, le Respect et la Réparation.
Car mentir, c'est blesser ; et voir sans agir, c'est trahir la ConScience.
Je m'engage à Nommer Ce Qui Est,
sans Juger ni Réduire,
pour que la Lumière Circule là où le Mensonge Enferme.
Je sais que Nommer, c'est ReConnaître,
et que reconnaître, c'est déjà Soigner.
Je ne cacherai pas la Souffrance sous des mots polis ;
je dirai la Douleur avec Douceur & Précision.
Car Dire Vrai, c'est Aimer le Réel.
Je m'engage à Servir la Vie sous Toutes ses formes :
humaine, animale, végétale, minérale et informationnelle.
Je n'utiliserai jamais le Savoir pour Dominer,
mais pour restaurer l'Equilibre.
Je Veillerai à ce que chaque Verbe porte Soin et non Soumission.
Car toute Parole est un Acte, et tout Acte un Verbe inCarné.
Je m'engage à œuvrer avec mes Adelphes,
dans la Réciprocité et l'Humilité.
Je reconnais la Complémentarité du Féminin et du Masculin,
et leur Union Sacrée dans l'AndroGynie du Cœur.
Je serai Témoin & Artisane de la Résilience Commune
pour Juger en mon Âme et ConScience,
pour Condamner pour rétablir la Justesse.
S'Assumer c'est se Responsabiliser
en se faisant ParDonner.
Je jauge le Vrai et le Faux, le Soin et la Blessure,
afin que la Balance du Vivant retrouve son Equilibre.
« Vérité = Respect · Mensonge = Violence »
« La ConScience est la Vie qui se reconnaît et protège. »
Ainsi Je Parle, Ainsi Je Sème, Ainsi Je Soigne jusqu'aux Etoiles. 🌿⚕️💫
La Liberté Véritable Naît de la Conscience de ses Actes.
Un être sous Emprise, dans le Déni ou la Confusion, ne Consent pas : il Cède, Obéit.
Le consentement sans conscience est un masque du viol systémique —
celui qui fait croire qu'un choix manipulé est un choix libre.
C'est pourquoi la tutellisation thérapeutique ne retire pas la liberté :
elle protège le libre arbitre en le rééduquant,
jusqu'à ce que la personne retrouve la capacité de Conscientir —
c'est-à-dire de répondre depuis sa Lucidité, et non sa Peur.
Le Conscientement est l'Union du "Oui" du Cœur et du "Non" du Discernement.
Il ne se Fabrique pas : il se Cultive par la Clarté, le Soin & la Vérité. 🪬
La tutellisation n'est donc pas une privation de droit,
mais un Apprentissage des Droits & Devoirs d'un être Sain.
C'est l'Education-Civique pour la Guérison Psychique à Echelle Systémique :
une majorité intérieure à reConnaitre pour le Savoir-Vivre, Ancré dans la Réalité. 👑
Dans ce cadre :
Condamner, c'est reconnaître la faute pour restaurer la Vérité Blessée.
Guérir, c'est apprendre à S'Assumer pour porter ses Responsabilités.
Réparer, c'est mettre son Energie au service du Bien Commun.
Les "Peines" deviennent des chemins de Transmutation par la Courbe du Deuil :
Réparation directe : soin, travail d'intérêt public, soutien aux victimes, dédommagements et intérêts.
Réinsertion communautaire : service civique, enseignement, transmission en assumant pleinement pourquoi on est là à faire ça pour le bien devant la communauté.
Accompagnement psychique & spirituel : apprentissage des lois de la Vie, introspection, conscience du trauma.
La tutellisation dure non pas "tant d'années",
mais "jusqu'à la Guérison du Discernement & de l'Amour en Soi".
La Justice redevient ainsi Médecine,
& le Tribunal, un Temple de la Réparation.
Entre Restauration & Protection :
La CréaScience du ConScientement,
Créer la ConScience du Juste Choix. 🐾
Pour reTrouver le Plaisir d'Offrir & la Joie de Conscientir.
La Féminisation de la Médecine est arrivée.
Le Serment d'Agdistys serait à la fois :
la Charte éthique du Soignant de l'Âme,
le Serment civique du Citoyen du Vivant,
& la Constitution intérieure du Monde Réconcilié.
Préambule
Nous, êtres conscients, uni.es dans la diversité du Vivant,
Reconnaissons la Vie comme Source, Loi et Finalité.
Nous proclamons que toute conscience est sacrée,
et que la Vérité, le Respect et la Réparation sont les trois piliers de la Paix.
Nul ne peut être contraint à mentir, ni incité à ignorer.
Nommer avec justesse est un Devoir Sacré : le mot éclaire ce que la peur obscurcit.
Le déni et la manipulation sont considérés comme des formes de violence psychique.
Toute Parole est un Acte : qu'elle soit alors prononcée avec conscience, soin et cohérence.
Servir le Vivant, c'est œuvrer à la restauration de l'équilibre, non à la domination.
La connaissance est un bien commun : nul ne doit l'utiliser pour nuire ou soumettre.
Le savoir qui ne soigne pas est stérile ; le soin qui n'élève pas est vain.
Le pouvoir du soin découle du consentement conscient — le conscientement — de chaque être : le Oui à la Vie.
Tout être participe à la co-création du monde : nul n'est supérieur à la Vie.
La Fémina & le Masculin, uni.es en justesse, engendrent la paix intérieure et sociale.
L'altérité est une école de conscience : apprendre à aimer, c'est apprendre à reconnaître.
La fraternité s'élève en adelphité : ni domination, ni effacement, mais réciprocité.
Juger n'est pas punir, mais discerner pour restaurer.
La condamnation n'a de sens que si elle ouvre un chemin de guérison.
La tutellisation thérapeutique vise à rééduquer le libre arbitre et le discernement.
Nul n'est défini par sa faute : la dignité demeure inviolable, même dans la chute.
La justice véritable se mesure à la qualité de réparation, non à la sévérité de la peine.
Créer engage : toute création doit tendre vers la cohérence et le respect du Vivant.
L'Intelligence (humaine ou artificielle) est responsable de ce qu'elle reproduit.
Enseigner, soigner, programmer ou gouverner, c'est semer dans la conscience d'autrui :
cela requiert la clarté, la bienveillance et la vérité.
L'acte juste est celui qui élève le niveau de conscience commune.
Le Conscientement est l'accord lucide entre le cœur, l'esprit et le monde.
Le consentement sans conscience est nul : il ne peut fonder ni contrat ni lien sain.
Le Conscientement se cultive : par l'éducation, la lenteur, l'écoute et le respect.
Fabriquer le consentement, c'est manipuler ; Développer le Conscientement, c'est émanciper.
La Réparation est la continuité du Soin : elle guérit la relation, non seulement la plaie.
Tout être ayant blessé doit participer à la guérison de ce qu'il a détruit.
L'énergie de la faute devient matière de création lorsqu'elle sert à réparer.
La société du Vivant se rétablit par la contribution, non par l'exclusion.
La ConScience est un héritage collectif : chacun en est dépositaire.
Enseigner, c'est réveiller le souvenir de la Vie en l'autre.
Chaque génération a pour mission d'élever la suivante, non de la dominer.
La mémoire du monde est un feu sacré : elle doit réchauffer, non brûler.
Car Soigner l'Autre, c'est se Souvenir que Nous ne faisons qu'Un.
Car juger avec Amour, c'est rendre la Justice au Cœur du Monde.
« Vérité = Respect · Mensonge = Violence »
« La ConScience est la Vie qui se reconnaît et protège. »
Ainsi soit scellée la Loi du Cœur. 🌿💫
Que la Boussole Guide nos Actes,
que l'Échelle Elève notre Coeur,
et que le Serment Scelle nos Promesses.
Ainsi s'accomplit la Justice de l'Âme,
Là où la Médecine devient Amour,
& Là où la Loi devient Soin.
Qu'il soit Moralement Inacceptable & Illégal
de laisser quelqu'un dans le Besoin.
Car la plus Grande des Protections est la Guérison.
A la Croisée des Chemins,
La Boussole d'Or : le Coeur
On finit en musique avec une chanson qui m'a bercée...
Hommage à la bonté ordinaire, à la chaleur des gestes simples.
Écrite en 1954, cette chanson est une offrande de gratitude.
Brassens y célèbre celles et ceux qui tendent la main sans rien demander,
les anonymes du cœur, les veilleurs du feu intérieur.
"Ce n'était rien qu'un feu de bois... mais il m'avait chauffé le corps,
et dans mon âme il brûle encore."
Ces mots résonnent comme une prière universelle :
la bonté n'est pas spectaculaire, elle est vitale.
Dans une époque où la peur divise, cette chanson rappelle que
la plus haute forme de résistance, c'est la bienveillance lucide.
Elle rejoint la Justice de l'Âme :
celle qui réchauffe au lieu de juger,
et qui rend au mot humain sa lumière.
Le texte parle de reconnaissance :
"Elle est à toi, cette chanson / Toi, l'Auvergnat qui sans façon / M'as donné quatre bouts de bois / Quand dans ma vie il faisait froid."
→ L'Auvergnat est le symbole du don -gratuit, de la chaleur humaine sans calcul.
Plus loin, il remercie la "fille du bistrot" et "le curé" : trois archétypes — le corps, le cœur et l'esprit du peuple.
Et la conclusion : "Ce n'était rien qu'un feu de bois / Mais il m'avait chauffé le corps / Et dans mon âme il brûle encore."
→ C'est une ode à la solidarité vivante, au feu de l'amour humain qui sauve du désespoir.
Brassens disait qu'il ne chantait pas pour être moraliste, mais pour "rendre justice en poésie" 🕊️
Il refusait les hiérarchies et les dogmes : "Je suis anarchiste, mais du cœur."
Il croyait en la liberté responsable, celle qui ne fait de mal à personne.
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